Durant ces 24 heures, dans l'église Sainte Barbe d'Anzin, divers groupes se sont succédés pour rendre grâce, prier, méditer, adorer, chanter ou lire la parole de Dieu.
L’eucharistie est présidée par le Père Matthieu de Jenlis ; les pères Romefort, Caillebaux, Leclerc et Membré co-célèbrent avec lui. L’église rassemble au moins 400 personnes. Le groupe de louange, Exlut’êtes anime à merveille cette célébration.
En ce 4ème dimanche de Carême, l’évangile du Fils Prodigue nous montre que la plus grande victime de cette parabole est le père. L’abbé de Jenlis insiste sur les différentes blessures endossées par le Père (blessure de la séparation, de la discorde de ses fils l’un envers l’autre). Oui, c’est bien le Père qui souffre le plus dans cette histoire.
Dans nos obscurités, nous pouvons aisément nous identifier à l’un ou à l’autre des fils. Celui qui s’éloigne et se perd ; ou bien celui qui ressent une profonde injustice… Le Père, quant à lui est prodigieux de miséricorde. Alors, qu’attendons-nous pour nous tourner, (re)tourner vers Lui ?
L’assemblée, composée de nombreux enfants (tous venus dans le chœur lors du Notre Père) rentre chez elle après une célébration joyeuse et pleine d’espérance sur l'indéféctible amour de Dieu pour nous.